Vous avez une question sur vos droits ?
Nous avons la réponse.
En tant que résident étranger, vous ne serez pas soumis aux charges sociales suivantes : CSG, CRDS et CASA. Si vous relevez d’un régime français d’assurance maladie obligatoire, la retraite de base serait prélevée de 3,20 % au titre de la maladie. Concernant les retraites complémentaires, elles seront prélevées à hauteur de 4,20 % (assurance maladie).
En termes de fiscalité, vos retraites seront imposables soit dans votre pays de résidence, soit en France (en tant que non résident) en fonction de ce que prévoit la convention fiscale entre les deux pays (s’il en existe une).
Chaque année, vous devrez remplir une attestation de résidence prouvant que votre habitation principale n’est plus sol français.
La liquidation de vos retraites se fera en deux temps : la liquidation provisoire et la liquidation définitive. Vous percevrez, dans un premier temps, votre pension correspondant à vos droits calculés jusqu’au 31/12/2017 (liquidation provisoire). Puis, lorsque votre caisse aura intégré vos droits 2018, vous recevrez une notification définitive avec un paiement rétroactif (il faut généralement compter entre 6 mois et 1 an). Cette notification définitive prendra également en compte les éventuelles régularisations de points que vous aurez demandé lors de votre demande de retraite.
Lorsque vous poursuivez votre activité après l’âge légal de départ à la retraite et au-delà du nombre de trimestres nécessaires pour obtenir une retraite à taux plein, les trimestres que vous effectuez en plus vous permettent d’augmenter le montant de votre retraite.
Cette majoration est appelée « surcote ».
Pour chaque trimestre supplémentaire accompli après la date d’obtention du taux plein, la majoration de pension est égale à 1,25% (soit 5% par an).
Oui, c’est le principe du cumul emploi-retraite. Une fois que vous avez demandé à percevoir l’intégralité de vos retraites, vous pouvez tout à fait conclure un nouveau contrat de travail avec votre dernier employeur pour reprendre une activité salariée.
Si vous avez le taux plein lors de votre demande de retraite, vous pouvez conclure un nouveau contrat de travail et reprendre une activité salariée auprès de votre ancien employeur dès le lendemain de la date d’effet de vos retraites.
A contrario, si vous n’aviez pas le taux plein lors de votre demande de retraite ou que vous avez pris votre retraite avant l’âge légal au titre des carrières longues, vous devrez respecter un délai de carence de 6 mois.
A noter qu’il n’est pas nécessaire d’avoir cessé votre activité avant de demander votre retraite s’il s’agit, notamment, d’activités artistiques, littéraires, scientifiques, de spectacles, juridictionnelles occasionnelles ou assimilées.
La pension de réversion n’est pas automatique, vous devez en faire la demande auprès de toutes les caisses de retraite de votre conjoint décédé. Des formulaires spécifiques sont disponibles sur internet. Attention, les conditions d’obtention de la pension de réversion diffèrent suivants les organismes (conditions de ressources, conditions d’âges…).
Non, les assurés plus « fragiles » n’entrent pas dans le champ d’application de cette nouvelle mesure. Si vous êtes reconnu invalide avec un taux d’incapacité permanente d’au moins 50%, vous bénéficiez d’une dérogation spécifique et donc, vous ne serez pas impacté par cette nouvelle réforme.
La retraite progressive de réduire son activité à temps partiel, et de percevoir en complément une partie de sa retraite. Par exemple, si vous passez à temps partiel à 70%, vous percevrez en plus tous les mois 30% du montant mensuel de votre retraite.
Pour demander la retraite progressive, il faut remplir plusieurs conditions :
vous devez avoir au moins 60 ans ;
vous devez exercer une activité à temps partiel (entre 40% et 80% d’activité)
vous devez justifier de 150 trimestres auprès d’un ou de plusieurs régimes de retraite de base.
Les formulaires de demande de retraite progressive sont disponibles sur les sites internet des caisses de retraite.
Pour demander votre retraite de manière anticipée, vous devez réunir 2 conditions :
avoir l’âge requis (entre 57 ans et 62 ans)
avoir acquis un nombre suffisant de trimestres cotisés dans toute sa carrière, dont 5 trimestres avant l’année de vos 20 ans.
Les trimestres cotisés sont des trimestres pour lesquels vous avez versé des cotisations via vos activités professionnelles : sont donc exclus les trimestres pour enfant, les trimestres de service militaire, de chômage… Il existe quelques exceptions à cette règle : on peut retenir exceptionnellement jusqu’à 4 trimestres de service militaire, 4 trimestres de chômage indemnisé…
Pour en avoir la confirmation, vous pourrez demander une attestation spécifique appelée « votre situation vis-à-vis du départ anticipé carrière longue ».
Les régimes alignés sont des régimes de retraite qui se rapprochent du régime général dans la manière de calculer les droits à la retraite. Ce terme regroupe actuellement le régime de base des retraite salariées (Régime Général), le régime de base des salariés agricoles (MSA Salarié), et le régime de base des Artisans et Commerçants (Sécurité Sociale des Indépendants, ex-RSI).
Depuis le 01/07/2017, tous les revenus et/ou salaires que vous avez acquis via des activités relevant de l’un ou l’autre de ces régimes sont rassemblés afin de vous verser une unique retraite.
Au niveau administratif, vous n’avez donc plus qu’un seul formulaire à remplir pour demander votre retraite auprès de ces trois régimes.
La durée d'assurance nécessaire à l'obtention du taux maximum (taux plein) dépend de votre année de naissance. Elle varie entre 167 et 172 trimestres.
Sur votre relevé de carrière, la durée d'assurance est le nombre de trimestres que vous avez validé en tant que salarié du secteur privé, salarié agricole, artisan et commerçant.
Pour déterminer votre durée d'assurance, nous retenons vos périodes :
de cotisations obligatoires ou volontaires ;
assimilées à des périodes d'assurance (maladie, maternité, etc.) ;
validées par présomption ;
rachetées pour le taux et la durée d'assurance.
Des trimestres complémentaires peuvent s'ajouter à votre durée d'assurance (trimestres pour enfants, etc.).
Qu'est-ce que la « surcote » ?
La surcote permet de majorer votre retraite si :
vous avez atteint votre âge légal de départ à la retraite ;
vous continuez à travailler ;
vous totalisez le nombre de trimestres exigés pour la retraite au taux maximum (ou taux plein).
La majoration est égale à 1,25 % pour chaque trimestre civil de surcote accompli depuis 2009.
Le service de l'allocation de solidarité aux personnes âgées (Saspa) de la Mutualité sociale agricole (MSA) est compétent pour examiner les droits des personnes qui n'ont jamais été affiliées à un régime de retraite de la Sécurité sociale.
L'attribution de la retraite n'est pas automatique. Pour en faire la demande, connectez-vous à votre espace personnel et utilisez notre service « Demander ma retraite », valable pour toutes vos retraites, de base et complémentaires, 4 mois avant votre date de départ.
Si vous réalisez votre demande de retraite en ligne, vous pouvez effectuer une demande unique, valable pour tous les régimes confondus (base et complémentaires).
En revanche, si vous choisissez de faire votre demande via un formulaire papier (à renvoyer par courrier), vous aurez à effectuer :
une demande pour vos activités relevant du régime général (salariés et travailleurs indépendants), du régime agricole et du régime des cultes ;
une autre demande pour chacun de vos régimes de base et complémentaires.
Oui, vous devez prévenir votre employeur dès que vous connaissez la date à laquelle vous partez à la retraite. Nous vous conseillons également de vous renseigner sur votre préavis de départ.
La demande de retraite déposée dans l'un des États membres de l'Union européenne (UE) déclenche simultanément l'examen de votre demande dans tous les États membres concernés, sauf si :
vous limitez la demande à la prestation d'un certain état ;
vous ne réunissez pas, au même moment, les conditions pour avoir une retraite dans les autres États où vous avez cotisé (l'âge de la retraite n'est pas le même dans tous les États de l'UE).
Vous pouvez demander la régularisation de votre carrière en ligne. Pour cela, connectez-vous à votre espace personnel et utilisez notre service de régularisation de carrière.
Le relevé de situation individuelle vous est envoyé par courrier, automatiquement, tous les 5 ans, à partir de 35 ans.
Vous pouvez également visualiser ce relevé en ligne, quel que soit votre âge. Connectez-vous à votre espace personnel et sélectionnez le service en ligne « Ma carrière ».
Si votre enfant est né à partir de 2010, vous pouvez effectuer des démarches de partage des trimestres de majoration pour l'éducation avec l'autre parent. Aux 4 ans de votre enfant, vous avez 6 mois pour désigner le bénéficiaire de la majoration ou la répartition des trimestres entre vous et l'autre parent.
Non. Le paiement de votre pension d'invalidité cesse dès que vous bénéficiez de votre retraite.
Quelle que soit votre situation, la retraite est calculée de la même façon. La seule différence est que vous obtiendrez le taux maximum (taux plein), même si vous ne réunissez pas le nombre de trimestres demandé.
Les périodes au cours desquelles vous percevez une pension d'invalidité sont assimilées à des périodes d'assurance. Chaque trimestre civil qui comprend 3 mensualités de paiement d'une pension d'invalidité valide un trimestre sur votre relevé de carrière.
Si vous n'exercez pas d'activité professionnelle, votre pension d'invalidité est remplacée par une retraite d'inaptitude au travail à l'âge légal de la retraite.
En revanche, si vous exercez une activité professionnelle, vous pouvez continuer à bénéficier de votre pension d'invalidité tout en travaillant. Vous pouvez continuer à bénéficier de votre pension d'invalidité jusqu'à :
votre cessation d'activité ;
ou, au plus tard, à l'âge du taux maximum (ou taux plein) automatique.
Pour obtenir votre retraite, vous devrez déposer une demande de retraite auprès de votre caisse régionale.
Pour votre retraite de base, vous dépendez de l'Assurance retraite. Vos droits et démarches sont identiques à ceux des salariés. Vous pouvez ainsi consulter la rubrique « Je suis actif » de ce site internet pour obtenir des informations générales sur votre retraite, et la rubrique « Je suis retraité » si vous avez déjà pris votre retraite.
Nous vous invitons également à vous connecter à votre espace personnel pour obtenir des informations personnalisées. C'est la Sécurité sociale des artistes auteurs (Maison des artistes et Agessa) qui prononce votre affiliation.
Pour la retraite complémentaire, vous cotisez, sous certaines conditions, auprès de l'Ircec.
Le service de l'allocation de solidarité aux personnes âgées (Saspa) de la Mutualité sociale agricole (MSA) est compétent pour examiner les droits des personnes qui n'ont jamais été affiliées à un régime de retraite de la Sécurité sociale.
Le droit à une retraite anticipée est ouvert pour les travailleurs handicapés sous certaines conditions.
La consultation en ligne du suivi de votre dossier sera possible lorsque celui-ci sera en cours de traitement. Un e-mail vous informe dès la prise en compte de votre demande par votre caisse régionale.
Dans les jours qui suivent la clôture de votre dossier, ce service devient indisponible.
Si vous souhaitez des informations complémentaires, contactez votre caisse régionale.
Oui, vous pouvez obtenir des trimestres supplémentaires pour le calcul de vos droits à la retraite.
3 majorations sont prévues :
Au titre de la maternité : pour la mère biologique 4 trimestres/enfant,
Au titre de l'éducation : pour le père ou la mère 4 trimestres maximum,
Au titre de l'adoption : pour le père ou la mère 4 trimestres maximum.
Le service en ligne « Suivre ma demande en cours » est réservé aux assurés qui ont un dossier retraite en cours d'étude dans une caisse de retraite (régularisation de carrière, retraite personnelle, de réversion, allocation de veuvage, majoration enfants ou tierce personne, etc.). Pour accéder à ce service, connectez-vous à votre espace personnel et sélectionnez « Suivre ma demande en cours » dans la liste des services en ligne.
Ces informations sont également disponibles, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, par téléphone au 3960 (service gratuit + prix appel).
Pour consulter vos informations sur le 3960, munissez-vous :
du numéro de département de la caisse régionale qui paie votre retraite ;
de votre numéro de sécurité sociale ;
de votre code confidentiel 3960 (ce code confidentiel, réservé au serveur vocal, figure sur votre accusé de réception. En cas de perte ou d'oubli, contactez votre caisse régionale).
Le paiement de la retraite est mensualisé. Le versement intervient directement par virement sur le compte bancaire ou postal entre le 8 et le 10 du mois suivant.
Q1. Quels sont les nouveaux documents obligatoires pour la retraite en 2025 ? Les documents désormais obligatoires incluent une pièce d'identité valide, un acte de naissance récent, le dernier avis d'imposition, un RIB, les bulletins de paie de la dernière année d'activité, et des attestations de la CPAM et de France Travail pour les périodes de chômage.
Q2. Quel est le délai recommandé pour déposer sa demande de retraite ? Il est fortement conseillé de déposer sa demande de retraite au moins 5 mois avant la date de départ souhaitée. Ce délai permet aux caisses de traiter le dossier, de vérifier les pièces justificatives et de calculer le montant de la pension sans interruption de revenus.
Q3. Comment puis-je suivre l'avancement de ma demande de retraite ? Vous pouvez suivre l'état d'avancement de votre demande en ligne grâce au service "Suivre ma demande en cours". Ce service vous permet de visualiser les quatre étapes du traitement et vous recevez des notifications par email à chaque étape franchie.
Q4. Que faire si mon dossier de retraite est incomplet ou rejeté ? En cas de dossier incomplet ou rejeté, vous pouvez contester la décision auprès de la Commission de Recours Amiable dans un délai de 2 mois. Si le rejet persiste, vous pouvez saisir le Pôle social du Tribunal judiciaire ou consulter le médiateur de votre régime de retraite.
Q5. Comment les outils numériques facilitent-ils la constitution du dossier de retraite ? Les outils numériques, comme le service "Mes justificatifs", permettent d'obtenir une liste personnalisée des documents à fournir. De plus, vous pouvez téléverser vos pièces justificatives en toute sécurité et suivre l'avancement de votre dossier en ligne, ce qui simplifie considérablement le processus de demande de retraite.
Q1. Quels sont les pays les plus abordables pour vivre avec une pension de 1000 euros par mois ? Plusieurs pays offrent un bon rapport qualité-prix pour les retraités avec ce budget, notamment le Portugal, la Grèce, la Thaïlande, le Maroc et la Bulgarie. Ces destinations combinent un coût de la vie réduit, un climat agréable et des infrastructures adaptées aux expatriés.
Q2. Quels sont les principaux critères à considérer pour choisir un pays où s'expatrier à la retraite ? Les critères essentiels incluent le climat et la qualité de vie, le coût global de la vie, la qualité du système de santé, la fiscalité sur les retraites, ainsi que la facilité d'intégration linguistique et culturelle.
Q3. Quels sont les avantages fiscaux pour les retraités français dans certains pays ? Certains pays offrent des avantages fiscaux intéressants. Par exemple, le Portugal propose un taux d'imposition de 10% pendant 10 ans, la Grèce applique un taux de 7% pendant 15 ans, et le Maroc offre un abattement fiscal de 80% sur les pensions transférées localement.
Q4. Quelles précautions prendre avant de s'expatrier pour sa retraite ? Il est crucial d'informer sa caisse de retraite, de préparer un budget réaliste, de faire un essai de quelques mois dans le pays choisi, et de conserver des liens avec la France. Il faut également bien se renseigner sur les conditions de visa et la couverture santé.
Q5. Comment gérer les aspects financiers lors d'une retraite à l'étranger ? Il est important de prendre en compte les frais bancaires internationaux, de vérifier l'existence d'une convention fiscale pour éviter la double imposition, et de prévoir une assurance santé adaptée. Conserver un compte bancaire en France et envisager des solutions de transfert d'argent optimisées peut également faciliter la gestion financière.
Q1. Quel est l'âge minimum pour bénéficier de la retraite progressive en 2025 ? À partir du 1er septembre 2025, l'âge minimum pour accéder à la retraite progressive sera abaissé à 60 ans pour tous les travailleurs français, quel que soit leur statut professionnel.
Q2. Quelles sont les conditions pour bénéficier de la retraite progressive en tant que salarié du privé ? Les salariés du privé doivent avoir 60 ans, justifier d'au moins 150 trimestres tous régimes confondus, et exercer une activité à temps partiel comprise entre 40% et 80% de la durée légale ou conventionnelle.
Q3. Comment est calculée la part de retraite progressive ? La fraction de pension versée correspond à la différence entre 100% et votre quotité de travail à temps partiel. Par exemple, si vous travaillez à 60%, vous percevrez 40% de votre pension de retraite.
Q4. Les travailleurs indépendants peuvent-ils bénéficier de la retraite progressive ? Oui, les travailleurs indépendants peuvent bénéficier de la retraite progressive à condition d'exercer leur activité à titre exclusif et de réduire leurs revenus de 20% à 60% par rapport à la moyenne des cinq dernières années.
Q5. La retraite progressive a-t-elle un impact sur la retraite définitive ? Pendant la retraite progressive, vous continuez de cotiser et d'acquérir des droits. Au moment de votre retraite définitive, votre pension sera recalculée en tenant compte de ces cotisations, et ne pourra jamais être inférieure à celle qui a servi de base au calcul de votre retraite progressive.
Q1. Quelles sont les principales modifications apportées au cumul emploi-retraite en 2025 ? Les changements majeurs incluent des restrictions sur le cumul intégral avant 67 ans, un renforcement du cumul plafonné avec de nouveaux plafonds de revenus, et un écrêtement des pensions pour les retraités n'ayant pas atteint l'âge du taux plein automatique.
Q2. Comment le cumul emploi-retraite affecte-t-il les retraités aux revenus modestes ? Le dispositif reste un outil important pour les retraités modestes, leur permettant de compléter leurs revenus. En moyenne, il apporte un supplément de 9 255 euros bruts par an, soit environ 40% de leur pension moyenne.
Q3. Quelles sont les nouvelles conditions pour bénéficier du cumul intégral ? Le cumul intégral est désormais accessible à partir de 67 ans, ou entre 62 et 67 ans uniquement pour ceux ayant le nombre complet de trimestres pour le taux plein. Il faut également avoir liquidé toutes ses pensions personnelles de base et complémentaire.
Q4. Comment fonctionne l'écrêtement des pensions dans le cadre du cumul plafonné ? L'écrêtement réduit la pension proportionnellement au dépassement du plafond de revenus autorisé. Si le montant de la réduction dépasse celui de la pension, celle-ci n'est plus versée. Chaque régime de retraite applique sa propre règle d'écrêtement.
Q5. Quelles améliorations sont proposées pour simplifier le système de cumul emploi-retraite ? La Cour des comptes recommande l'automatisation des contrôles en utilisant les données de la Déclaration Sociale Nominative (DSN) et du Répertoire de Gestion des Carrières Unique (RGCU). Cela permettrait un suivi plus efficace et transparent des revenus des retraités en cumul emploi-retraite.